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par Jean-François Jagielski

Décembre 1990

21 - 23 décembre 90 : Réunion, à Paris, des 12 membres du Conseil national suprême (C.N.S.) avec les deux coprésidents de la conférence de Paris et le représentant de l’O.N.U., Raffeudin Ahmed. Le coprésident français souligne que « la communauté internationale ne peut se pencher indéfiniment sur le sort du Cambodge si les Cambodgiens n’ont pas la volonté politique d’aboutir ». Les trois factions du Gouvernement national du Cambodge (G.N.C., ex-G.C.K.D.) expriment leur soutien total au plan des 5 membres permanents du Conseil de Sécurité. L’État du Cambodge formule des réserves. Une « note explicative informelle » est fournie par Ahmed Raffeudin. Si un accord général intervient, des « questions restantes » doivent faire l’objet de négociations plus approfondies. Pris d’un malaise, Hun Sen doit être hospitalisé pendant la réunion.

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