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11 juillet 86 : Le Parlement européen adopte une résolution appuyant le plan en 8 points du G.C.K.D. (voir 17 mars) tout en dénonçant les violations des droits de l’homme en R.P.K. | |||
27 juillet – 5 août 86 : Élections en Thaïlande. Le général Prem est confirmée comme premier ministre pour la troisième fois (Bui Xuan Quang, 2000, p. 738). | |||
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28 juillet 86 : Dans un discours prononcé à Vladivostok, Gorbatchev exprime le souhait d’un rapprochement avec la Chine. Il annonce le prochain retrait des troupes soviétiques d’Afghanistan et une réduction du dispositif militaire en Mongolie. Il propose de limiter les forces navales dans le Pacifique afin de fonder la sécurité internationale sur la diplomatie, plutôt que sur les moyens purement militaires (Cesari, 1995, p. 274). Mais sans véritablement infléchir la position soviétique sur le Cambodge. Il estime que le problème doit être réglé entre Phnom Penh et Hanoi, sans l’implication les Nations Unies (Férier, 1993, p. 165). | |||
Version du 25 septembre 2025 à 11:12
10 juillet 86 : Décès de Le Duan, secrétaire général du P.C.V. Le décès de ce gardien de la « transformation socialiste » sera l’occasion de la mise au placard de sa politique économique catastrophique. Truong Chinh prend provisoirement sa succession jusqu’à l’élection de Nguyen Van Linh (voir 15 – 18 décembre).
11 juillet 86 : Le Parlement européen adopte une résolution appuyant le plan en 8 points du G.C.K.D. (voir 17 mars) tout en dénonçant les violations des droits de l’homme en R.P.K.
27 juillet – 5 août 86 : Élections en Thaïlande. Le général Prem est confirmée comme premier ministre pour la troisième fois (Bui Xuan Quang, 2000, p. 738).
28 juillet 86 : Dans un discours prononcé à Vladivostok, Gorbatchev exprime le souhait d’un rapprochement avec la Chine. Il annonce le prochain retrait des troupes soviétiques d’Afghanistan et une réduction du dispositif militaire en Mongolie. Il propose de limiter les forces navales dans le Pacifique afin de fonder la sécurité internationale sur la diplomatie, plutôt que sur les moyens purement militaires (Cesari, 1995, p. 274). Mais sans véritablement infléchir la position soviétique sur le Cambodge. Il estime que le problème doit être réglé entre Phnom Penh et Hanoi, sans l’implication les Nations Unies (Férier, 1993, p. 165).
