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par Jean-François Jagielski

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'''Carpentier  Marcel (général)''' : Succède à Blaizot le 20 septembre 1949 dans le rôle de commandant en chef. Il ne connaît rien à l’Indochine et prend au moment de la victoire communiste en Chine. Il doit donc gérer cette menace. Il ne suit pas les conseils de Revers qui préconisait dès juin 1949 dans son rapport un repli du Nord-Est. Il temporise. Il se brouille rapidement avec son adjoint Alessandri qui lui est favorable à ce repli. Il ne décide que tardivement, à la fin de l’été 1950, le repli de la R.C. 4 et l’abandon de Cao Bang. Il gère très mal, à distance, ce repli, notamment l’abandon de Langson. Un vent de défaite et de panique s’empare alors du commandement qui craint une perte totale du Tonkin. Malgré ses fautes de commandement, il sera blanchi par Juin, son protecteur.
'''Carpentier  Marcel (général)''' : Succède à Blaizot le 20 septembre 1949 dans le rôle de commandant en chef. Il ne connaît rien à l’Indochine et prend son commandement au moment de la victoire communiste en Chine. Il doit donc gérer cette menace. Il ne suit pas les conseils de Revers qui préconisait dès juin 1949 dans son rapport un repli du Nord-Est. Il temporise. Il se brouille rapidement avec son adjoint Alessandri qui lui est favorable à ce repli. Il ne décide que tardivement, à la fin de l’été 1950, le repli de la R.C. 4 et l’abandon de Cao Bang. Il gère très mal, à distance, ce repli, notamment l’abandon de Langson. Un vent de défaite et de panique s’empare alors du commandement qui craint une perte totale du Tonkin. Malgré ses fautes de commandement, il sera blanchi par Juin, son protecteur.
[[Catégorie:Acteur Politique ou Militaire]]
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Dernière version du 20 novembre 2025 à 22:30

Carpentier  Marcel (général) : Succède à Blaizot le 20 septembre 1949 dans le rôle de commandant en chef. Il ne connaît rien à l’Indochine et prend son commandement au moment de la victoire communiste en Chine. Il doit donc gérer cette menace. Il ne suit pas les conseils de Revers qui préconisait dès juin 1949 dans son rapport un repli du Nord-Est. Il temporise. Il se brouille rapidement avec son adjoint Alessandri qui lui est favorable à ce repli. Il ne décide que tardivement, à la fin de l’été 1950, le repli de la R.C. 4 et l’abandon de Cao Bang. Il gère très mal, à distance, ce repli, notamment l’abandon de Langson. Un vent de défaite et de panique s’empare alors du commandement qui craint une perte totale du Tonkin. Malgré ses fautes de commandement, il sera blanchi par Juin, son protecteur.

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